Suivant une pratique née il y a deux siècles, les musées peuvent déposer dans un autre établissement des œuvres. Souvent conservées en réserve pour diverses raisons (état sanitaire, politique d’accrochage, manque de place…), ses œuvres sont donc invisibles du public. Politique vertueuse, le principe du dépôt témoigne de la solidarité entre musées et du principe fondateur de leur travail : l’intérêt général.
De nombreux musées nationaux et territoriaux ont accepté d’accompagner l’aventure du musée du Grand Siècle par de généreux dépôts. Ceux-ci font l’objet d’une restauration qui les met en valeur.
Attribué à Rémy Vuibert, Saints Paul et Barnabé à Lystres, vers 1640, huile sur toile, H. 106,5 x L. 137,5 cm, dépôt de la Ville de Paris, Conservation des Œuvres d’Art Religieuses et Civiles © CD92 / Julien Garraud
École française, Vue d’un château, XVIIe siècle, huile sur toile, H. 73 x L. 92 cm, dépôt du Centre des monuments nationaux © CD92 / Julien Garraud
D’après Pierre Mignard, La Famille du Grand Dauphin, vers 1690, huile sur toile, H. 281 x L. 375 cm, Dépôt du musée Lambinet, Versailles, D 9521, © C2RMF / Thomas Clot
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